(L’histoire de Dini)

En tant que l’aînée de la famille, Dini, agée de douze ans, s’accrochait toujours à son père. Ainsi, quand il mourut, elle fut dévastée. Sa dévastation se tourna en colère, quand elle apprit que son père faisait l’amour avec sa tante, qui devint plus tard grosse.

En tant que veuve malheureuse, la mère de Dini se décida de placer ses trois jeunes enfants dans un orphelinat. Elle devrait aussi vendre tous les objets de la maison, pour que la famille eût l’argent afin de se procurer des vivres. Environ trois ans plus tard, une relation familiale dit à Dini que sa mère devrait se remarier. Dini fut très blessée par cette nouvelle et n’arrivait pas à comprendre pourquoi sa mère ne l’avait pas informée sur sa décision. Elle se sentit comme si elle n’avait personne dont elle allait dépendre, aussi longtemps que son père l’avait déçue, et voilà que sa mère fit autant.

Dini devint par conséquent amie aux perturbateurs à l’école et passa une période rebelle. Elle séchait des cours, ne portait plus d’uniforme scolaire, et se livrait aux bagarres. Chaque fois que ses amis faisaient face aux sérieux problèmes, Dini se posait des questions telles que : ‘’Qu’est-ce que je veux au juste ? Les règles religieux ne me rendent pas contente. Mais une vie libre, sans les règles religieux, n’est pas quelque chose que je n’aime pas non plus’’.

Le mois de Ramadan survint, et Dini devint zélée aux pratiques religieuses des jeûnes et des prières. Une nuit, durant le Ramadan, elle se décida de dire la prière de tahajjud. La prière de tahajjud n’est pas l’une des cinq prières quotidiennes exigées. Elle ne se dit qu’à minuit, et en particulier, ça comprend des petitions de demande des signes à Dieu. Dini régla son alarme et se leva plus tard pour prier. Elle dit: ‘’J’ai eu une foi tellement grande que tout ce que j’allais demander à Dieu, cette nuit-là, Dieu allait m’écouter et me le donner’’.

À la fin de la prière qu’elle mémorisa, elle poussa un grand cri à Dieu et dit: ‘’Dieu, je suis confuse. Je suis confuse sur comment bénéficier de Ton approbation’’. Elle continuait: ‘’Dieu, si tu souhaites que je vive la vie selon tes exigences, alors montres-moi le chemin qu’il faut. Si tu ne me le montres pas, Dieu, laisse-moi vivre comme je veux. Je ne m’intéresserai plus aux règles de la religion. Et si je meurs, ne m’envoie pas au séjour des morts. Je n’ai pas su ce qui était juste. Dieu, ça ne sera pas juste pour moi d’aller au séjour des morts. Tu ne m’as jamais montré la voie qu’il faut. Ce que je veux, Dieu, c’est de voir le chemin qu’il faut cette nuit. Je vivrai ma vie comme tu voudras. ’’

Une lumière vive apparut et elle vit une silhouette devant elle. La personne fut en robe blanche, mais elle ne pouvait pas voir clairement son visage. Elle ne pouvait pas comprendre comment elle parvint plus tard à réaliser que cette silhouette fut Jésus. Il dit: ‘’Suis-moi’’. Elle fut confuse et pensait: ‘’Seigneur, je suis musulmane, comment puis-je te suivre? ’’ Elle se posait beaucoup de questions et se demandait comment elle pouvait suivre le Dieu des Chrétiens. Elle entendit une autre voix lui disant: ‘’Tu ne peux absolument pas Le suivre. Oublie ta prière ! Oublie l’intention de mener une bonne vie !’’ Quand elle regarda l’homme en blanc, elle se sentit calme et paisible. Jésus continuait à dire: ‘’Suis-moi’’, comme Il tendit Sa main. Dini eut du mal à se décider, mais dit finalement: ‘’Dieu, si ceci est le chemin à vérité, d’accord. Je veux te suivre.’’ Dès qu’elle dit cela, elle se sentit comme si la glace se versait de sa poitrine. Au même moment, elle expérimenta la paix, qu’elle n’eut jamais expérimentée avant. Elle dit: ‘’J’ai expérimenté quelque chose d’extraordinaire dans mon coeur.’’

Après que Dini soit devenue Chrétienne, elle expérimenta la persécution familiale. Elle avait juste 17 ans, lorsqu’elle fut forcée de quitter la maison. Elle fréquenta le pensionnat, et finança ses études grâce aux travaux à temps partiel qu’elle faisait. Elle poursuit la réconciliation avec sa famille. Pendant qu’elle respectait les traditions javanaises, elle ne tourna pas le dos contre les engagements inébranlables à Christ. Son plus grand essai, fut le pardon de son défunt père, et l’acceptation de son demi-frère, né d’une façon illégitime. Lorsque sa mère ne pouvait plus prendre soin de lui, Dini embrassa son demi-frère comme son propre frère.

Elle continue de vivre comme un exemple de celle qui: ‘’puit tout par Celui qui la fortifie’’

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Publié par The House of Karis